Le paradoxe de la prise de masse : muscle et graisse
Pour ce qui est de la musculation, muscle et graisse ne font pas bon ménage. Aussi pour que le premier puisse se développer d’une façon optimale, le second est appelée à disparaître. Pour se faire, certaines substances doivent être prises et des hormones se doivent être stimulées.
Parmi les hormones qu’il faut stimuler se trouve l’insuline. Cette hormone produit par le pancréas se spécialise dans le transport des nutriments dans l’organisme. Dans le sens du stockage, l’insuline apporte de l’énergie aux organes qui en ont besoin, tandis que dans le sens du déstockage, elle puise dans les réserves graisseuses. Toutefois, tout le monde n’est pas égal face à l’insuline. Afin de donner la même chance à tous, les stimulateurs sont utilisés pour réguler votre taux de sucre sanguin et favoriser la prise de muscle. Le résultat est la croissance osseuse et musculaire, puis de la réduction de la masse graisseuse.
Viens en deuxième lieu l’hormone de croissance. Cette hormone polypeptidique est sécrétée par l’hypophyse suite à des repas, d’un stress ou pendant une séance d’exercice de musculation. Sa sécrétion se fait pendant la nuit et la journée et agit essentiellement sur la croissance et le métabolisme. Il y a alors une croissance des tissus, l’anabolisme et la perte des graisses. Pour le stimuler, certains aminés comme l’ornithine, la Glutamine ou l’arginine sont utilisés. Le Gaba et quelques extraits végétaux très spécifiques marchent aussi très bien. Aussi le paradoxe de la prise de masse n’est pas à prendre dans le sens négatif de l’expression.